Blague Du Jour
Lors d'une visite effectuée à l'hopital de la capitale cubaine, Fidel Castro a tenu à se rendre à la chambre où se trouvaient à peu près une centaine de soldats cubains hospitalisés. Commencant par le premier patient, Fidel Castro lui demande,:
-"Tu souffre de quoi?"
-"J'ai les hémoroïdes Monsieur le President", répond le soldat.
-"Et qu'est que tu fais pour te faire soigner?" demande Castro.
-"Un bâton, un coton et une teinture d'iode", répond le soldat.
-"Et quel est ton souhait le plus cher?", demande Castro.
-"Guérir pour vous servir Monsieur le Président", répond le soldat.
Passant au deuxième patient, le troisième, le 4ème, le 5ème...jusqu'au 99ème, les réponses étaient les mêmes. Surpris par la ressemblance de la maladie ainsi que les souhaits des soldats, Castro, demande au dernier patient:
-"Tu souffre de quoi?".
-"J'ai mal à la gorge Monsieur le Président", répond le soldat.
-"Et qu'est ce que tu fais pour te faire soigner?", demande Castro.
-"Un bâton, un coton et une teinture d'iode", répond le soldat.
-"Et quel est ton souhait le plus cher?", demande Castro.
-"Qu'en change le coton, Monsieur le Président!", répond le soldat.
-"Tu souffre de quoi?"
-"J'ai les hémoroïdes Monsieur le President", répond le soldat.
-"Et qu'est que tu fais pour te faire soigner?" demande Castro.
-"Un bâton, un coton et une teinture d'iode", répond le soldat.
-"Et quel est ton souhait le plus cher?", demande Castro.
-"Guérir pour vous servir Monsieur le Président", répond le soldat.
Passant au deuxième patient, le troisième, le 4ème, le 5ème...jusqu'au 99ème, les réponses étaient les mêmes. Surpris par la ressemblance de la maladie ainsi que les souhaits des soldats, Castro, demande au dernier patient:
-"Tu souffre de quoi?".
-"J'ai mal à la gorge Monsieur le Président", répond le soldat.
-"Et qu'est ce que tu fais pour te faire soigner?", demande Castro.
-"Un bâton, un coton et une teinture d'iode", répond le soldat.
-"Et quel est ton souhait le plus cher?", demande Castro.
-"Qu'en change le coton, Monsieur le Président!", répond le soldat.
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