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Wednesday, July 19, 2006

In Defence Of Carthage And The Carthaginians (2)

Sometime in June 2005 I wrote a post as a recation to an article that appeared in the Wall Street Journal . The aim of the WSJ's article was but to smear the name of Carthage and Carthaginians by unfairly accusing them of child sacrifice.

At that time it was an westerner who wrote the article and we cannot blame his biased approach to this issue. But when a fellow Tunisian, who is by no means an pundit in ancient history,blindly adopts the same approach, this makes me really feel sick in the guts.

I have been following a heated debate around this subject in this blog which I used to visit frequently but I think I have changed my mind, since I cannot stand people who claim knowledge and try to pitchfork on various subjects and uproot them from their real historical, social and cultural contexts to serve some "political ideology of hate" à la Daniel Pipes and à la Pat Robertson.

Anyway coming back to our subject, this smearing campaign of Carthage and Carthaginians as child killers is not the invention of yesterday, it goes back to the Romans and the Greeks and now unfortunately to the heirs of Carthage if they ever deserve to be labled as such.

As professor Mhamed Fantar said "History always gets written by the victors" ... the Romans twisted history to "show us as barbarians" and to "justify their own barbarity." ... "We must stop looking at our past through the eyes of foreigners" ... "When Arabs read and understand our own history, we will be at the dawn of a real revolution. This is what we are trying to do in Tunisia.".

It seems that, unfortunately, Mr. Fantar's plea went unnoticed.I would like to remind those who are trying to vilify and defame the history of our ancestors realize that they are adopting the same pitiful tactics and twisted ways that were used by islamist fundamentalists and extremists in Tunisia during the 80s and 90s and I hope that they do not get trapped in this muddy road for who knows it is always easy to label someone a "terrorist"!

9 Comments:

Blogger Roumi said...

Mon cher Hannibal,

Je vais devoir répondre à ta note puisqu'elle concerne l'antiquité.

Les sacrifices humains constituent une pratique répandue dans l’antiquité, en particulier dans le bassin méditerranéen. Les Romains l’ont pratiqué d’ailleurs. Ces pratiques sont toujours liées à un contexte religieux ou funéraire. Dans le contexte religieux, il s'agit de consacrer la vie d'un être humain à une divinité pour diverses raisons (vœu, protection face à un danger grave, …) ; dans le contexte funéraire, il s'agit de sacrifiés accompagnant le mort dans l'au-delà. De ce contexte funéraire sont d’ailleurs nés les gladiateurs. Lors de la mort d'un grand aristocrate romain d’époque républicaine, des hommes armés s'opposaient et ceux qui périssaient accompagnaient le noble dans sa seconde vie. Bon je ne vais pas développer trop ces aspects.

Alors ensuite concernant le problème de la transmission de ces sacrifices à travers la documentation littéraire antique, il faut être prudent, l’analyser simplement, sans sombrer d'un excès à l'autre. Les sources antiques ont souvent exagéré l'importance de ces sacrifices ; vrai pour les Carthaginois… vrai aussi pour les Gaulois. Mais cela ne veut pas dire qu'il n'y en a pas eu... Les historiens de l'antiquité avaient peut être tendance parfois à généraliser un peu trop facilement des pratiques peu répandues voire exceptionnelles. Dire que rien n'a existé revient à sombrer dans un excès inverse bien entendu.

Les preuves matérielles ? Il n'y a pas de preuves formelles, c'est exact ; les archéologues n’arrivent pas à se mettre d’accord à propos des sacrifices ; c’est vrai pour les Carthaginois. C’es vrai aussi pour les Gaulois ; les traces de sacrifices humains en Gaule sont relativement peu nombreuses et souvent peu explicites. Mais ce n'est pas suffisant évidemment pour condamner des textes. Qui sommes nous pour dire que tel ou tel historien s’est trompé, a menti, … ? Il faudrait retourner tout le sol de la Tunisie... ou tout le sol de la France (si on s'intéresse à la question des sacrifices gaulois)... et même si on faisait cela, même si on ne trouvait rien, cela ne signifierait pas que cette pratique n'a pas existé : elle n'a pas forcément laissé de trace, ces traces ont pu être détruites par le temps, ... Il faut donc, dans ces conditions, traiter la question de manière modérée, en rappelant les textes, qui ne peuvent certainement pas être rejetés aussi facilement que certains le pensent, souligner l'absence actuelle de preuves formelles, et donc souligner le fait que cette question reste en suspend.

D'autre part, il faut essayer dans la mesure du possible de regarder ses « ancêtres » avec une distance prudente. Nous sommes le fruit d'héritages multiples ; on ne peut pas vraiment dire « les Carthaginois sont nos ancêtres ; les Romains sont nos ancêtres ; … » C’est beaucoup plus compliqué ; une civilisation actuelle est le fruit d’un mélange, d’un mélange de civilisations successives mais aussi de civilisations contemporaines (exemple : indigènes berbères et Carthaginois) ; d'autre part, on n’est pas obligé d’être fier à 100% d'une civilisation passée et il est même souhaitable de savoir considérer une civilisation dans toute sa dimension.
Le problème c'est que l'histoire est écrite par des gens qui n'ont pas toujours la même optique. Il y a des gens qui écrivent l'histoire pour l'histoire, pour le développement pur de la connaissance, c'est à dire avec le plus d'objectivité possible.
Il y a ceux qui écrivent l'histoire pour construire, construire notamment l'identité nationale, et par exemple l’identité nationale tunisienne. A chaque fois qu'un Etat construit son histoire il a tendance à vouloir rendre lisse et parfait ce qui l'arrange, à rejeter ce qui ne l’arrange pas. Dans cette optique on comprend parfaitement les propos de Mhamed Fantar : "We must stop looking at our past through the eyes of foreigners" "When Arabs read and understand our own history, we will be at the dawn of a real revolution. This is what we are trying to do in Tunisia.". Ces propos sont vraiment tristes à lire... ils suggèrent qu'il y a deux histoires : la bonne, écrite par les chercheurs locaux, et la mauvaise, écrites par les étrangers. Ce ne sont pas des propos très dignes d'un historien ouvert sur le monde ; cela relève plus du nationalisme que de l'humanisme. L’histoire appartient à tout le monde ! Et la qualité première de l’historien est l’objectivité. Alors si les nationaux étaient les seuls à l’écrire, que ce soit en Tunisie ou ailleurs, il y aurait une juxtaposition d’histoires nationales, complaisantes au possible, flattant l’orgueil national, … c’est le degré zéro de l’histoire. L’histoire, on ne doit pas l’écrire chacun dans notre coin ; on doit l’écrire ensemble. L’histoire est un partage ! Tu sais bien, Hannibal, ce que veut dire le mot « ensemble » dans ma bouche, tu sais bien à qui je pense notamment avec ce mot ; tu sais bien que pour moi l’histoire est un partage noble ; c’est du partage que naît l’histoire objective, de la confrontation de différents points de vue. Je ne peux pas aimer les propos de Fantar qui s’inscrivent dans une sorte de repli identitaire et qui sont particulièrement surprenant de la part d’un historien.

Je suis un peu désolé de dire cela mais il faut bien comprendre que l'histoire qu'on enseigne dans chaque pays n'est qu'une vulgaire histoire commandée par l'Etat pour des raisons idéologiques, pour construire l'identité nationale. Dans cette optique, oui, il ne faut surtout pas laisser les étrangers écrire l'histoire locale... des fois qu'ils trouveraient des défauts embarrassants.
Ce n'est pas cela l'histoire ; l'histoire c'est ne pas être complaisant, ne pas voiler ce qui ne nous arrange pas ; et le bon historien se doit de prendre de la distance par rapport à ce qu'il étudie et ne pas se plier au désir de l'Etat qui lui demande d'écrire l'histoire dans une certaine direction. Moi, par exemple, Hannibal, j'écris sur les Romains mais je ne suis pas un adorateur des Romains ; j’ai une distance par rapport à ce que j’étudie ; je ne rêve pas de vivre à l’époque romaine. Je ne les admire pas à 100% ; je suis capable de conserver un regard critique...

De la même façon, je dirais que, en tant qu'historien, je suis contre la statue d'Hannibal à Carthage dans la mesure où cette installation sert des intérêts qui ne sont pas historiques. Deux points me semblent devoir être soulignés.
Le premier c'est que mettre une civilisation sur un piédestal revient à ne plus pouvoir l'étudier de manière objective. C'est aussi simple que cela. Je reviens aux propos de Fantar ; si on fait cette statue, qui fera ensuite une analyse critique de l'histoire carthaginoise à l'époque d'Hannibal... personne... celui qui le fera sera un traître à la nation qui aura rejoint ces chercheurs "étrangers" qui sont censés menacer les intérêts nationaux. C'est triste mais c'est ainsi que les choses se passent.
Deuxième point : pourquoi mettre Hannibal en valeur ? Parce qu'il s'est opposé aux Romains ! C'est la seule chose qui le distingue d'autres Carthaginois, d'autres africains au sens large. Ce qui me gêne c'est l'image subliminale d'une telle chose, l’idée de la défense de l'Orient contre l'Occident, vision tout à fait anachronique pourtant dans l'antiquité... Mais qui verra que c'est anachronique. Le commun des mortels recevra en pleine face ce message subliminal et pourra ainsi construire son identité de la manière suivante : Hannibal/Romains, Arabes/Croisés, Tunisiens/monde occidental. C'est un peu caricatural mais ce n'est pas éloigné de la réalité, c'est bien à cela que conduit l'écriture de l'histoire dans un but national.
Et pourquoi alors ne pas rappeler que les Carthaginois sont parmi les premiers envahisseurs du territoire tunisien ? Pourquoi ne pas élever une statue à un indigène ayant résisté au débarquement des Carthaginois ? Et pourquoi ne pas mettre dans l’amphithéâtre d’El Jem une statue à la Kahina qui a défendu les Berbères contre les Arabes ? Mais non, impossible, cette statue serait politiquement incorrecte, incompatible avec les principaux objectifs de la construction de l’identité nationale. C'est bien là qu'on voit les choix et les contradictions liées à la construction d'une identité nationale. On prend ce qu’on veut, on jette ce qu’on veut, on arrange les choses comme on veut. C'est pourquoi il vaut mieux éviter de faire se rencontrer l'histoire et la politique.

Il faut prendre de la distance pourtant ! On est au XXIe s. ! On ne doit pas lire l'histoire avec nos yeux actuels, on ne doit pas s'identifier parfaitement à des gens qui occupaient tel ou tel sol national et c'est malheureux ce que font généralement les gens, encouragés en cela par leurs Etats. Nous ne sommes que des « locataires » ; nous occupons des sols nationaux que d’autres ont occupés avant nous, sous d’autres formes. Nous sommes les conservateurs de la mémoire histoire de ceux qui nous ont précédé. Pourquoi aller plus loin ? Pourquoi s’identifier à eux ? Les réponses à ces questions sont souvent plus politiques qu’humaines.

Ces "histoires nationales", trafiquées pour les besoins de la cause, ne sont pas porteuses d'un très grand progrès intellectuel et autre. La construction de l'identité française et de l'identité allemande au XIXe s., au mépris de l'histoire, chacun récupérant et interprétant les choses à sa manière, a contribué au déclenchement de trois guerre franco-allemandes, dont les deux dernières ont eu des effets mondiaux. L’histoire est souvent utilisée comme une arme… à quoi ça sert ? Il vaudrait mieux que les Etats laissent les historiens faire leur travail objectivement et arrêtent de chercher à construire l'identité nationale en prenant autant de liberté, en valorisant telle ou telle chose, en élevant au rang de perfection certaines civilisations qui ne sont en fait ni pire ni meilleure que les autres. Il faudrait aussi que, dans l’éducation des jeunes, on n’utilise pas l’histoire à des fins politiques, qu’on n’encourage pas les jeunes à une identification parfaite avec telle ou telle civilisation, qu’on leur apprenne que l’histoire c’est avant tout la distance, l’objectivité, la recherche non de la vérité (impossible à atteindre) mais de la plus grande précision possible. Malheureusement on n’en prend pas le chemin et surtout pas quand de grands historiens rentrent dans la combine d’une histoire trop complaisante.

Mon cher Hannibal, je te conseille la lecture d'un ouvrage qui me semble indispensable de consulter. Je l'ai acheté ; je ne l'ai pas encore lu. Il s'agit de Entre Bourguiba et Hannibal. Identité tunisienne et histoire depuis l'indépendance de Driss Abbassi paru en 2005. J'aimerais citer une partie du résumé de la page de couverture : "De quelle manière se produit l'identité nationale tunisienne après l'indépendance de 1956 ? Et comment les discours officiels sur la nation se recomposent-ils dans certaines circonstances socio-politiques particulières ? (...) Il en résulte une Tunisie qui écrit son passé à l'image de son présent, en effaçant, en marginalisant ou en magnifiant tel élément de ce passé. L'analyse met en lumière les variations du discours identitaire dans la Tunisie contemporaine et démontre dans quelle mesure l'histoire nationale est ajustée aux enjeux liées à la construction d'une mémoire collective. Celle-ci est au coeur du balancement identitaire. Elle repose sur des vraies ruptures en matière d'écriture de l'histoire."

Ce livre pose des questions pour la Tunisie… mais chaque pays doit se les poser. Chaque citoyen doit se les poser. L’historien n’est pas là pour flatter la fierté nationale, l’historien n’est pas là pour mener l’histoire dans une direction qu’on lui suggérerait ; l’historien est là pour faire son travail objectif, en toute liberté après avoir réussi un indispensable processus de distanciation avec l’objet de ses recherches.
Le problème des sacrifices carthaginois est très révélateur de ce point de vue car il y a clairement des historiens qui le traitent d’un point de vue non pas historique mais idéologique. Vouloir à tout prix évacuer l’existence de ces sacrifices, alors qu’il n’y a pas de preuves de leur non existence, revient pour certains à parfaire l’image de perfection de la civilisation carthaginoise, vision servant les objectifs fixés pour la construction de l’identité nationale tunisienne. C’est étonnant de voir que certains historiens tiennent absolument à effacer l’existence, même supposée, de ces sacrifices ; leur réaction est suffisamment curieuse pour qu’on s’en méfie. Personnellement ça m’est complément égal qu’il y ait eu des sacrifices ou non, je fais partie des historiens qui n’analysent pas les sources en fonction de leurs désirs et de la demande de l’Etat ou de l’opinion. Les sources parlent de sacrifice ; on n’a pas de raison de les rejeter à 100% sauf si on a des arrière-pensées évidemment… les mêmes d’ailleurs n’hésiteront pas a contrario à utiliser aveuglement d’autre sources qui vont dans le sens qui les arrange... et il n’y aura alors pas ce problème de « fiabilité ». C’est un peu contradictoire.
Ce qu’on peut dire alors c’est que ces sources expriment certainement un fond de vérité, sachant que le sacrifice était une pratique répandue en Méditerranée et que, comme bien souvent, on en a probablement exagéré l’importance… c’est une vision objective et modérée qui ne sert aucune idéologie mais contrarie évidemment l’image trop parfaite d’une civilisation qui, comme toutes les civilisations, a pourtant eu nécessairement ses défauts de même que toutes celles qui ont suivi jusqu’à nos jours.
Heureusement, il y a beaucoup d’historiens tunisiens qui sont sérieux et objectifs et travaillent, en échangeant leur expérience avec des chercheurs du monde entier, pour l’avancement objectif de la connaissance.

P.S. : ah oui là j’ai parlé du problème de l’identité nationale tunisienne mais ce n’est pas un problème spécifique à ce pays évidemment ; ce problème existe, à une échelle plus ou moins grande, dans la plupart des autres pays.

1:42 PM  
Blogger Hannibal said...

@Mon cher Roumi je suis content que tu sois le premier à commenter ce billet parce que c'est un commentaire de quelqu'un qui sait de quoi il parle. Et la je suis tout à fait d'accord avec ton analyse. Comme je l'ai mentionné dans mon billet de Juin 2006, je ne suis pas un archeologue ou un historien. Mon actuel billet a un contexte très spécifique. L'histoire du sacrifice à Carthage n'est pas le coeur du sujet et je ne vais pas entrer dans cette polémique tant que je ne suis pas un expert en la matière. Mon billet est surtout une réaction à un autre billet qui ne fait que parachuter des incidents de l'histoire sur des faits actuelles et courantes. Dire que la situation au Liban n'
est que la continuation de ce que s'est passé à Carthage l'ancienne est à mon sens une manière naive et dénudée de toute objectivité. Ce qui m'a révolté le plus est le fait de manipuler l'histoire pour servir des fins idéologiques et politiques. Les propos de Fantar sont ses propres propos et il assume sa reposabilité je les ai cités seulement pour dire que malheureusement il existe des gens qui agissent et réagissent aveuglement sans pour autant prendre le temps pour vérifier. L'histoire est le fruit d'un effort collectif de toute l'humanité mais je n'accepte pas le fait de malsainement manipuler cette Histoire.

2:16 PM  
Blogger Tarek طارق said...

@Hannibal: You shouldn't have my friend... Now she thinks she's the funny girl who makes fun of "serious" guys... that she is the one who makes believe that she (that is that amatuer stupid "Pipes") is hurting Carthage's honor (who cares what she'd say about Carthage's honor??!!)... In fact the simple fact is still there: there are stupid, smart, whatever, people who would like to twist historical truth to validate their opinions towards contemporary events... When they're caught, and especially if they're stupid and therefore they've nothing to say, they'd pretend to be funny about the whole thing... You know that attitude of "I was just joking man... don't get too serious about it... let's talk about the cat now"

@Roumi: oui exactment "il faut traiter la question d'une facon modere", ce que j'ai deja dit:
http://arts-of-islam.blogspot.com/2006/07/sometimes-youve-to-be-stupid-to-be.html

2:30 PM  
Blogger Hannibal said...

@Tarek: I totally agree. I think I was only wasting my time and energy. I should have known that attitude so long ago since "klemik ma3 elli me yefhmiksh khasara!"

2:44 PM  
Blogger Hannibal said...

@ Tarek: by the way I should have thanked her for smartly increasing the traffic to my blog ;):P

2:47 PM  
Blogger Roumi said...

@Hannibal : merci mon Grand Frère. Désolé de t'avoir imposé un commentaire si horriblement long.

3:02 PM  
Blogger Hannibal said...

@ Mon Cher Roumi: Au contraire! je serais toujours content de te lire :)

3:05 PM  
Anonymous Anonymous said...

@roumi: wawww !!! roumi !!! on te parle d'histoire et tu te laches comme çà :D
et tu c koi j'ai lu tout ton commentaire ... c vraimnt un exploit :D
ben si je l'ai lu c que çà m'a ineressé ...

ehh en fait , il parait que la star ac a commencé au liban :D :D :D

9:40 AM  
Blogger Roumi said...

@majhoul : mabrouk pour ton courage surhumain... et merci pour ton intérêt mon Grand. :-)

Tu sais, je crois que si je sais autant de choses en histoire, c'est parce que je n'ai pas regardé la star'ac depuis un bon moment... :-)

J'étais un grand adorateur de la star'ac française pendant les deux premières saisons ; je regardais toujours la fin de l'émission du samedi soir. Je trouvais que les jeunes chantaient souvent faux... que les votes étaient truqués... mais ça me fascinait littéralement... et je ne pouvais détacher mon regard de la télé !

Pour la star'ac au Liban, si ça permet aux Libanais de chasser pendant quelques minutes les soucis de leur esprit, tant mieux !

2:47 PM  

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